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Recherche par lecteur : Michel Joyet

58 résultats. Page 3 sur 3.

Lu par : Michel Joyet
Durée : 8h. 29min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 13103
Résumé:Huit millions quatre cent mille hommes, de toutes conditions, ont été soldats dans l'armée française entre 1914 et 1918. Parmi eux, dix poilus célèbres, Péguy, Alain-Fournier, Pergaud, Apollinaire, Bernanos, Céline, Cendrars, Duhamel, Dorgelès et Genevoix, qui ont en commun d'être écrivain en 1914 ou de le devenir après leur expérience du front. Ces portraits, qui retracent leur guerre, sont un pan de la mémoire combattante d'un conflit qui « a laminé l'âme » des soldats. Quelles que soient leurs idées ou leur psychologie, ces écrivains demeurent inséparables de leurs frères d'armes auprès desquels certains d'entre eux reposent parfois. Ce livre rappelle ce que tous ont vécu.
Lu par : Michel Joyet
Durée : 3h. 41min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 13147
Résumé:Quatrième de couverture : C'est une petite ville de Bohême, où les retraités viennent passer leurs vieux jours dans la verdure. Parmi eux, Svoboda, l'idiot local, hante la gare en attendant qu'un voyageur le charge de ses valises. Mais un jour en 1939, les troupes allemandes envahissent la ville... et voilà le porteur accusé d'attentat contre Hitler. [...]
Lu par : Michel Joyet
Durée : 6h. 35min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13483
Résumé:Personne n'a oublié ce 4 juin 2007, lorsque toutes les télévisions du monde interrompirent leurs programmes pour diffuser l'incroyable nouvelle : "l'avion du président de la République française vient de disparaître des écrans radars au-dessus de l'Afrique équatoriale." Au bout de cinq semaines, on abandonna les recherches. Il était évident que le président et sa suite de ministres, d'hommes d'affaires et de journalistes avaient été engloutis à jamais par la forêt primaire. On décréta un jour de deuil national et la vie reprit son cours.
Lu par : Michel Joyet
Durée : 9h. 9min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 13572
Résumé:Dans sa première édition, en 1959, le Comité international d'Auschwitz présentait ainsi ce livre : « Rudolf Hoess a été pendu à Auschwitz en exécution du jugement du 4 avril 1947. C'est au cours de sa détention à la prison de Cracovie, et dans l'attente du procès, que l'ancien commandant du camp d'Auschwitz a rédigé cette autobiographie sur le conseil de ses avocats et des personnalités polonaises chargées de l'enquête sur les crimes de guerre nazis en Pologne. Conçu dans un but de justification personnelle, mais avec le souci d'atténuer la responsabilité de son auteur en colorant le mieux possible son comportement, celui de ses égaux et des grands chefs SS, ce document projette une lumière accablante sur la genèse et l'évolution de la "Solution finale" et du système concentrationnaire. Ce compte rendu sincère représente l'un des actes d'accusation les plus écrasants qu'il nous ait été donné de connaître contre le régime dont se réclame l'accusé, et au nom duquel il a sacrifié, comme ses pairs et supérieurs, des millions d'êtres humains en abdiquant sa propre humanité. » La préface de Geneviève Decrop (auteur de l'ouvrage "Des camps au génocide : la politique de l'impensable", PUG, 1995) replace en perspective ce texte fondamental. Et dans la postface inédite à cette édition de poche, elle montre en quoi les avancées récentes de l'historiographie de la Shoah renouvellent la portée de sa lecture.
Lu par : Michel Joyet
Durée : 2h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13278
Résumé:Un jour de mars 1942, dans une bourgade des Carpates, quand la neige commençait à rouiller, la Gestapo arrêta deux cents résistants polonais, ouvriers pour la plupart. Parmi eux se trouvait un étudiant de l'Université de Cracovie, un jeune poète ambitieux. C'était moi. Il ne serait pas bienséant de relater les jours et les semaines qui ont suivi. Il suffirait d'écrire plusieurs fois le mot Gestapo, Gestapo, Gestapo... D'ailleurs, je n'ai gardé, aucun souvenir de ce temps défunt... C'est au camp d'extermination d'Auschwitz que j'ai paradoxalement retrouvé ma pensée indocile et cela grâce au Kommando Schlosserei. Fils d'un ouvrier métallurgiste, je connaissais outils et métaux. Ce fut ma chance de pouvoir travailler dans un grand atelier, à l'abri de la pluie et de la froidure meurtrières. On y coulait les grilles destinées aux fours crématoires, on y fabriquait les lampadaires d'appartements pour les officiers SS, et même de grosses chevalières en or que moulaient pour eux nos ferronniers d'art. De ces trois années d'enfermement, ma mémoire a sauvé de l'oubli des moments qui allaient au-delà du scénario manichéen des rôles partagés entre victimes et bourreaux. Pendant les cinquante années qui ont suivi ma libération à Bergen-Belsen, je me suis tu tandis que mes compagnons rescapés racontaient mille histoires véridiques sur les bons et les méchants. Aujourd'hui, c'est mon tour. A toi, ami lecteur, je livre cette écriture. Je voudrais que tu la trouves belle et fraternelle.
Lu par : Michel Joyet
Durée : 3h. 49min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 13400
Résumé:Un journaliste erre dans les ruines des villes allemandes anéanties par les bombardements. Il se nomme Stig Dagerman, il est là pour les besoins d'un reportage mais il est avant tout écrivain. Quelques semaines durant, il va observer, questionner, descendre dans les caves à la rencontre de ceux qui s'y terrent, s'interrogeant lui-même, méditant sur la souffrance et l'angoisse, la haine et la culpabilité. Peu à peu prend forme Automne allemand, ce livre qui, depuis sa parution chez Actes Sud en 1980, n'a cessé de s'imposer comme un témoignage de première force sur les conséquences de la défaite allemande et le destin de l'Europe.
Lu par : Michel Joyet
Durée : 27h. 58min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 13444
Résumé:Cet ouvrage propose un extrait de l'oeuvre de l'académicien Maurice Genevoix. Il comporte entre autres ses récits de guerre : Sous Verdun, Nuits de guerre, la Boue. des textes qui témoignent avec précision et intransigeance de la réalité de la première guerre mondiale. L'auteur, né en 1890, est mobilisé en 1914. Il part au front où il est rapidement grièvement blessé. Il passe ainsi toute la fin du conflit à l'arrière, réformé. Mais les moments qu'il a vécus sur le front, il ne peut les oublier et il se fait le porte-parole de l'indicible pour les générations futures. Il se considère comme un survivant et un témoin de l'horreur et de toute la dimension humaine de la guerre. Pour aborder le travail de Maurice Genevoix dans sa totalité, l'éditeur a complété les récits de guerre par deux de ses romans ainsi que par un autre texte, écrit en 1971, qui est une sorte de retour sur la grande guerre.
Lu par : Michel Joyet
Durée : 10h. 4min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 12735
Résumé:Présentation de l'éditeur : L'Amérique a toujours été considérée, par tous les pays du monde et plus spécialement par les pays européens, à la fois avec envie et mépris. Elle l'est davantage encore depuis qu'elle est devenue, au XXe siècle, une grande puissance, et surtout depuis qu'elle est, à la suite de l'effondrement des empires communistes, la seule superpuissance planétaire. Qu'est-ce qui, dans cet antiaméricanisme général, est fondé sur une connaissance des réalités, sur une analyse des faits, et qu'est-ce qui s'explique par les survivances d'idéologies fossiles, par un ressentiment irrationnel, générateur d'informations fausses et de phobies, imputables aux échecs des pays mêmes qui critiquent sans cesse les Etats-Unis en leur attribuant des défauts souvent imaginaires ? Jean-François Revel avait déjà traité cette question dans Ni Marx ni Jésus, livre paru en 1970 avec un grand succès international. Mais depuis lors la situation a bien entendu évolué, du fait de l'émergence des Etats-Unis comme unique " hyperpuissance ", à la fois économique, stratégique et, jusqu'à un certain point, culturelle. L'animosité à l'égard de l'Amérique a décuplé. On l'attaque à la fois comme modèle de société et comme force prépondérante dans les relations internationales. Cette diabolisation a même poussé certains courants islamistes jusqu'à l'hyperterrorisme religieux qui a surgi en 2001. Mais bien d'autres pays, sans aller jusqu'à ces extrêmes, partagent les sentiments qui les inspirent. Il y a donc lieu d'actualiser la question de l'antiaméricanisme et de réexaminer ce phénomène politico-culturel à la lumière des transformations survenues depuis une trentaine d'années. C'est ce que fait Jean-François Revel dans L'Obsession anti-américaine. Comment l'Amérique est-elle vue par les autres et comment est-elle en elle-même ? Mesurer et expliquer l'écart entre la vision et la réalité, tel est l'objet de ce livre.
Lu par : Michel Joyet
Durée : 4h. 44min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12743
Résumé:Point de départ de l'enquête. Un séduisant jeune homme qui se retrouve entièrement nu dans une chambre d'hôpital et à qui l'on propose tout bonnement le corps d'une ravissante jeune femme. Pendant ce temps, un autre homme qui perd la vie dans une cabine téléphonique parfaitement ordinaire. De très bonnes photos prises lors d'interventions chirurgicales vraisemblablement illégales. D'interminables courses poursuites pour quelques échanges de bons procédés. Et il faut bien tout ce pataquès pour prendre conscience qu'en fin de compte, on en est bien loin. Du compte. En fin de compte. Le monde des Hommes gagnerait certainement à être soulagé de tous les affreux qui s'y dissimulent. Mais encore faudrait-il une certaine exhaustivité, se débarrasser de tous ces êtres infâmes avant qu'ils ne deviennent à leur tour une espèce rare, insolite, exceptionnelle.
Lu par : Michel Joyet
Durée : 43min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 12555
Résumé:Extraits de : Poème 1
Lu par : Michel Joyet
Durée : 12h. 1min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13631
Résumé:Publié en 1934, ce recueil rassemble quatorze histoires dont Faulkner réutilisera quelques-unes dans des livres ultérieurs. Ceci montre l'importance qu'il accorda à ce volume, le deuxième recueil de nouvelles qu'il publiait après Treize histoires. Livre composite, les récits traitent de la guerre aérienne de 14-18 ou apportent des témoignages recueillis au cours des grandes épreuves de l'histoire américaine, comme la guerre de Sécession. Souvent Faulkner, en grand virtuose, rehausse l'intrigue de terribles dénouements oniriques et invite le lecteur à découvrir les mystères qui l'obsèdent, portant sur le monde contemporain un regard étonné, critique et généreux.
Lu par : Michel Joyet
Durée : 7h. 47min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12577
Résumé:Il s'agit d'abord d'une oeuvre assez largement autobiographique : on reconnaît le romancier qui souhaite écrire des histoires simples, qui cherche toujours le mot juste qui rendra au mieux l'atmosphère décrite. On retrouve aussi le romancier qui a longtemps bénéficié des largesses de son épouse pour mener une vie dorée d'artiste. [...]. Les personnages mènent une vie très libre, libertine même. Des jeux érotiques « immoraux », faisant appel à la domination/soumission et au triolisme lesbien sont décrits sans pesanteur .
Lu par : Michel Joyet
Durée : 5h.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12556
Résumé:L'écornifleur, écrit en 1890, publié en 1892, a pour héros un parasite habile, mais séducteur pusillanime qui se rend indispensable à une famille de bourgeois en vacances au bord de la Manche (père, mère et nièce).
Lu par : Michel Joyet
Durée : 10h. 12min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12325
Résumé:Autrefois, lorsque le café était une denrée précieuse et réservée aux riches, à la fin du repas on se payait le café du pauvre, c'est--à-dire l'amour, la joyeuse partie de jambes en l'air... Nous sommes juste après la guerre en 1946 et le café, devenu rare, se vend encore à prix d'or sous le manteau. Revenant des armées du général de Gaulle où il a récolté une blessure et une médaille, le héros de cette histoire, sans un rond en poche, n'a guère de quoi s'offrir autre chose que le café du pauvre quand l'occasion s'en présente. Il exerce divers petits métiers extravagants et peu rémunérés. N'empêche, les jupons volent au coin des rues, la jeunesse aidant, c'est tout de même la belle époque. Alphonse rencontre Odette la catholique, qui veut sauver son âme; Lulu, la femme du charcutier, qui lui offre ses charmes imposants et les trésors alimentaires de son arrière-boutique; Jacqueline, la militante trotskiste avec laquelle il défilera de la Bastille à la Nation pour changer le monde; Flora, la comédienne initiatrice des beautés de l'art dramatique; Cricri, la belle pute dont il pourrait faire son gagne-pain si la peur du gendarme n'était pas aussi dissuasive en ces temps reculés où les prêtres avaient des soutanes, les magistrats une guillotine au fond de l'oeil et les dames des porte-jarretelles pour le plaisir de l'honnête et du malhonnête homme. Un livre où le rire ne perd jamais son droit prioritaire dans le Paris pourtant maussade de Monsieur Félix Gouin, président provisoire de la République renaissante. Avec, bien sûr, les bons copains et les mauvaises rencontres qui peuvent vous conduire en galère. L'apprentissage de la vie, de l'amour après la guerre... Une fresque de frasques et de fesses, de tétons, de dessous vaporeux... De baguenaudages à la petite semaine au coin de la rue là-bas. Comme dans une chanson de celle qu'on appelait encore la Môme Piaf.
Lu par : Michel Joyet
Durée : 8h. 39min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 12431
Résumé:En 1895, Joshua Slocum, cinquante et un ans, capitaine à la retraite, quitte le port de Boston, seul sur le "Spray", un voilier rustique de onze mètres, pour faire le tour du monde.
Lu par : Michel Joyet
Durée : 6h. 42min.
Genre littéraire : Littérature érotique
Numéro du livre : 12091
Résumé:Ce livre exhume un trésor composé de romans érotiques romains non pas inconnus, mais abandonnés dans le mépris ou l'ombre pour des raisons morales, esthétiques et scolaires. Pascal Quignard reconstitue cinquante-trois d'entre eux. Ce sont les Mille et une nuits du monde romain sous la dictature de César et au début de l'empire. La vie de Caius Albucius Silus - la vie du plus grand et du plus singulier des romanciers d'alors - sert de conte-cadre. Albucius était un citoyen milanais ombrageux, passionné par un vieux compotier de chêne, qui faisait des lieues en litière pour contempler un marabout ou un rhinocéros, qui aimait les choses sordides, qui collectionnait les natures mortes de Peiraikos et qui buvait du lait de femme chaque matin. Ces cinquante-trois intrigues judiciaires, rudes, sanglantes, sexuelles, déclamatoires peuvent tour à tour être rapprochées des grands dialogues de Pierre Corneille, des romans noirs de Donatien de Sade, ou de la poésie objectiviste de Charles Reznikoff.
Lu par : Michel Joyet
Durée : 3h. 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12445
Résumé:"Les Ombres errantes" est le premier tome de la trilogie "Dernier Royaume". "Dernier Royaume" est un ensemble de volumes beaucoup plus étendu et étrange. Ni argumentation philosophique, ni petits essais érudits et épars, ni narration romanesque, en moi, peu à peu, tous les genres sont tombés. Enfant, durant toute mon enfance, chaque nuit, je tournais la tête du crépuscule jusqu'à l'aube. Cela me paraissait beaucoup plus intéressant que dormir. C'était peut-être un signe de carence mais cela m'excitait. C'est vraiment une tête qui tourne à toute allure que ces volumes. Un éclair de tête. Ce n'est pas un jugement sur le temps ou le monde ou la société ou l'évolution humaine : c'est le petit effort d'une pensée de tout. Une petite vision toute moderne du monde. Une vision toute laïque du monde. Une vision toute anormale du monde.
Lu par : Michel Joyet
Durée : 11h. 37min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 12172
Résumé:Événement majeur de notre siècle, le nazisme demeure également une énigme majeure posée aux historiens. Entre l'omnipotence diabolique de Hitler et la description de son pouvoir comme celui d'un « dictateur faible » face à un appareil d'État tout-puissant, Ian Kershaw risque une vision nouvelle. Ce qui devient objet d'histoire, ce n'est plus Hitler, mais sa position exceptionnelle qui excédait la mesure d'un individu sans qualité, tribun de brasserie, déclassé social, artiste raté. Hitler exerçait une autorité charismatique, fondée sur la perception, toujours renouvelée, par la masse de qualités, d'une mission, d'un héroïsme supposés du chef. Le charisme permet enfin de tenir ensemble tous les traits que les interprétations précédentes avaient jusqu'alors séparément soulignés: le pouvoir de Hitler résultait de la collaboration, de la tolérance, des faux espoirs ou de la faiblesse de tous ceux qui, en Allemagne, occupaient une position de pouvoir ou d'influence tous reportèrent leurs attentes ou leurs ressentiments dans la personne du dictateur. Il devint l'emblème de l'activisme, la source de l'autorité légitime, l'instance de confirmation ou de sanction des faits et gestes de quiconque agissait selon les intentions qu'il prêtait au Führer. De cela résultait une combinaison sans précédent d'instabilité institutionnelle et de dynamisme hors du commun, qui, incapable de stabilisation dans des formes légales, finit dans l'autodestruction.